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Le Chat de Geluck miaule à Lyon : un parc félin à ciel ouvert

Anaïs Chanterel

Un article de

À Lyon, depuis le 3 octobre, marchez à pas de velours : 15 statues monumentales du Chat de Philippe Geluck s’installent dans le parc de la Tête d’Or, le long de l’allée de la roseraie, jusqu’au 1er mars 2026.

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Anaïs Chanterel

Créé en 1983 dans les pages du quotidien belge Le Soir, le Chat fête déjà plus de quarante ans de bons et loyaux services humoristiques. Traduit, publié, vendu à des millions d’exemplaires, il est devenu une icône : rond, cravaté, insolent et philosophe.


Avec Geluck, ce félin au flegme implacable quitte la case de bande dessinée pour la cha(r)rue publique, se dressant en bronze au milieu des passants.


L’exposition s’intitule Le Chat déambule. Elle a déjà fait le bonheur des curieux à Paris, Bruxelles, Bordeaux, Caen ou encore Genève. À chaque étape, c’est le même scénario : un chahut de selfies, un charivari de sourires, une promenade où l’humour monumental se mêle à la poésie urbaine.


Parmi les modèles déjà aperçus lors des précédentes étapes de la tournée, on a vu le Chat boxer, se baigner, méditer, se transformer en sphinx moderne ou encore jouer au chat perché. À Lyon, chacun découvrira sa propre version : un chat-pitre géant qui provoque à la fois l’éclat de rire et la méditation muette.


Ce qui est sûr, c’est que les visiteurs lyonnais auront droit à un parcours félin unique, gratuit et en plein air. Les statues, hautes de près de trois mètres, pèsent plusieurs tonnes : du lourd pour un animal réputé léger ! Mais Geluck s’amuse à rappeler que ses sculptures ne sont que des prolongements de son humour : “un trait qui a pris du poids”.


Au parc de la Tête d’Or, chacun pourra donc se livrer à une chasse au trésor féline, un chapitre de promenade entre ombre et lumière, où l’art populaire rencontre le grand air.


Alors, faut-il y aller ? Tout chat pour chat, oui ! Car derrière le bronze, il y a quarante ans de philosophie de comptoir et d’humour universel. Le Chat a neuf vies, quinze statues, et désormais un terrain de jeu lyonnais. De quoi donner au parc un nouveau surnom : la Tête d’Or… et de poil.


PS : En clin d’œil : de Lyon à Cadaqués, de statue en moustache… Geluck a-t-il déjà croisé la Maison des Chats explorée par Le GéOptimiste



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Journal d’une souris effarouchée
Journal d’une souris effarouchée

Chers lecteurs bipèdes,

Permettez qu’une humble souris prenne la parole aujourd’hui. J’habite depuis toujours le parc de la Tête d’Or, petit royaume végétal où je mène une vie discrète : quelques miettes oubliées par les pique-niqueurs, une course effrénée le long des allées, un nid bien au chaud sous les racines. Rien de plus banal dans la destinée d’une souris. Jusqu’à ce mois d’octobre 2025.

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